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Past burnt you ;; Stella

Ellis Evans
Ellis Evans


diary : Past burnt you ;; Stella Eaaa154ec5e597e169eabd91d95382d9f73d3db9
pseudo : Bones (Il/they)
credits : Michiel Huisman (avatar ; the one minute) (gif ; fleetwoodmar)
love life : Divorcé ; seul depuis trois ans à présent.
warnings : Mention régulières à une personne ayant perdu la mémoire.
rp : rythme régulier, narration à la 3ieme personne (avec parfois du "je"), dialogues en fr, entre 300 et 800 mots en général, parfois plus, rarement moins.
1er sujet posté !
Humain
Imparfaitement parfaits !
Fait vivre un pré-lien
1 mois de love !

   
Le passé est obsédant ; quoiqu'on en dise, il revient toujours, l'allure d'une tique accrochée à soi et qui nous pompe le sang, sans arrêt. Ellis voudrait oublier, parvenir à ne plus tracer des traits ; mais la figure revient sans arrêt. La photo a été tellement regardée ; et le nom avait enfin trouvé un visage. Parfois Ellis se demande si Pépé l'avait vu une toute dernière fois, derrière ses paupières, avant de quitter la terre et de rejoindre, Ellis l'espère, le paradis. Pas qu'il soit croyant ; mais Pépé l'été ; et si ça existe bel et bien, il lui souhaite mille fois d'y être parvenu.

Stella, Stella, Stella.

C'est obsédant ; comme le passé ; foutue tique. Il essaye, vraiment, de s'en débarrasser ; mais le passé est si bien fait qu'on le retrouve toujours partout. On en fête des dates importantes, chaque année on se rappelle de celle d'avant et on se plaint que tout change ; même nous ; mais pas Ellis. Il a voulu tourner la page ; mais il n'y parvient pas. Encore moins quand le fantôme, non seulement avait retiré son drap, mais qu'il se baladait aussi en ville l'air de rien. L'impossibilité de la situation prend trop souvent aux tripes Ellis, dès qu'il croise la silhouette ; voudrait réussir à s'en débarrasser, mais, mais... Comment faire ? Il ne sait pas ; croit qu'il ne saura jamais.

Pourtant, il franchi le pas ce jour-là.

Tout était comme hier ; vraiment pas si différent. Il ne pleuvait pas, il faisait même encore beau ; les rayons de soleil percent les arbres qui ont encore quelques feuilles, mais toutes sont oranges à présent - quoique à bien y regarder, il y a encore un peu de vert ci-et-là - et il fait encore bon, dira-t-on. Il se rendait du point A au point B ; passe devant une boutique et se rappelle que les filles avaient parlé d'un nouveau jeu à la mode ; et puis, y'a eu la silhouette. Le fantôme était là ; à marcher, comme si de rien était, comme si elle n'appartenait pas au passé mais bel et bien au présent ; bon sang, comment fait-on pour paraître si naturel dans une époque pareille ? Ellis n'a pas le temps de se poser la question ; le fantôme pâlit davantage encore ; et le Evans ne peut que s'arrêter, pour l'observer ; la voir manquer un pas, porter une main sur elle, comme quand... Merde !

Ses pas s'activent ; lui font traverser la route qui sépare les deux trottoirs, tandis qu'elle semble avoir une brève perte de connaissance. "Hey, hey... !" Un son ; s'approche et vient à l'aider à se redresser, qu'elle ne s'écroule pas là. Il peut la toucher ; c'est étrange, pour un fantôme. "Vous m'entendez ?" Le prénom lui brûle la langue ; repose là, posé ; et piquant.

Dites, Stella, êtes-vous vraiment là ?

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Past burnt you ;; Stella 1627233805
Stella Kahnwald
Stella Kahnwald


diary : Past burnt you ;; Stella Tumblr_inline_pihclaMF8g1rvmmrv_540
pseudo : Olivia
credits : Teresa Palmer| zuzcreation (avatar), awona (sign code), wifeymakesgifs (gifs/sign), dreamlonelywolf (gif profil), taylor swift (lyrics/sig)
fae house : lost Comet
disposition : time traveler
love life : empty heart
rp : entre 800 et 1000+, réponses dans l'ordre d'arrivée, aussi régulières que possibles
1er sujet posté !
Fée
Love, trust and pixie dust !
De la Comète
A des enfants
cluster member
Badge Spring 2023
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every day is wine day
cold drinks, wild spirits

   
@Ellis Evans
tw: personnage faisant un malaise

Les premiers symptômes étaient apparus alors qu’elle se trouvait au Little Delights Café. Sa tasse était encore à fumante, à moitié pleine, quand sa vue s’était troublée. Son regard avait glissé vers sa main prise de tremblements. Toute maitrise de son corps lui échappait et elle resta immobile, priant pour que la sensation passe, disparaisse aussi subitement qu’elle était apparue. Qu’elle la laisse tranquille.
Le problème, c’était que ce n’était pas la première fois que Stella décelait ces réactions, raison pour laquelle elle se figea dès qu’elle les remarqua. Plusieurs fois, depuis son dernier voyage temporel, elle avait fait l’expérience de ces crises, elle avait presque oublié leur nature, tant la précédente remontait à loin — quelques mois après son débarquement dans le passé — et elle en avait conclut que son corps accusait le contrecoup de cette transition, qu’il s’adaptait mal au changement d’air du temps. Elle avait fini par s’y faire, pourtant, non ? Les épisodes s’étaient espacés, atténués, ils étaient devenus de l’histoire ancienne. Mais à présent, ils reprenaient du service, plus violents, plus angoissants, et Stella, en bonne Kahnwald qu’elle était, s’était évertuée à ignorer l’avertissement qu’ils pouvaient représenter. Peut-être que sa santé ne suivait plus, peut-être qu’elle n’avait jamais été faite pour basculer aussi loin dans le temps, qu’elle avait forcé ses limites. Elle n’aimait pas cette idée. Pourtant, à cet instant précis, elle n’avait d’autre choix que de subir les spasmes, l’impression de chuter dans un puits sans fond. C’était sans compter sur la panique que suscitait cette impuissance et elle n’eut plus qu’un désir : quitter le café, retourner chez Auster, s’effondrer dans le lit et ne plus en sortir jusqu’à ce qu’elle se sente assez solide pour marcher.
Stella enfila sa veste, glissa la lanière de son sac sur son épaule et se leva brusquement. Sa hanche heurta la table, faisant trembler sa tasse, mais elle n’en avait que faire de perturber ses voisins — elle s’en contrefichait déjà en temps normal, encore plus à ce moment précis — et elle quitta l’enseigne sans terminer son breuvage.
L’hôpital se trouvait à quelques rues de là, la logique aurait voulu qu’elle s’y rende mais elle prit la direction opposée, vers les hauteurs de Mayfield High, qui lui semblaient tout à coup si éloignées. Elle n’avait cependant aucune intention de dévier de sa trajectoire et elle s’efforça de marcher le plus normalement possible, malgré le sol qui tanguait, les murs qui penchaient, ses pas qui se faisaient incertains, chancelants. Pourquoi l’air ne lui faisait-il pas du bien ? Pourquoi le malaise persistait-il ? Elle posa la main contre un mur, feignit de regarder un instant dans une vitrine, inspira longuement et se redressa. Pourquoi était-elle donc incapable d’appeler à l’aide ? D’avouer qu’elle ne se sentait pas bien du tout ? Quelqu’un aurait pu aller chercher Auster, le bâtiment qui abritait la gazette se trouvait non loin du café. À la place, elle continuait à avancer mais chaque pas lui coûtait plus que le précédent et elle commençait à réaliser qu’il y avait peu de chances qu’elle arrive jusqu’à sa destination sans sombrer.
Elle croisa des silhouettes floues inconscientes de son état. Peut-être jouait-elle mieux la comédie que ce qu’elle s’imaginait, songea-t-elle ironiquement, alors que sa tension faiblissait et qu’elle devenait aussi blême que le fantôme qu’elle était censée être. Ses paupières papillonnèrent et elle porta la main à son coeur — is it still beating ?! Il battait bel et bien, comme un tambour ténébreux sonnant le glas. It never worked properly, that’s probably why you never loved anyone, se dit-elle, le venin de l’amertume se répandant dans ses veines, alors qu’un écho lui parvenait — Hey, hey!
Too late. La pensée lui échappa au moment où elle sentait le sol se dérober sous ses pieds. La perte de connaissance ne dura qu’une demi-seconde mais ce fut suffisant pour lui faire perdre toute notion du temps et de l’espace et s’il n’y avait eu cette main qui la soutenait, ce parfum masculin qui l’auréolait, Stella aurait parié avoir quitté Dupree pour de bon.
— Vous m’entendez ?
Stella posa la main sur celle qui la maintenait et elle battit des paupières, reprenant conscience, l’angoisse refluant lentement. Son coeur continuait à battre de façon étrange mais elle se sentit moins fébrile et elle releva les yeux vers l’inconnu venu à son secours. Sa vue mit quelques secondes à s’adapter à la proximité de leurs visages et elle fronça les sourcils comme si ça allait l’aider à mieux le discerner.
— Je vous entends, répondit-elle, s’accrochant à son bras pour se remettre sur ses pieds et se relever. C’est passé.
Ce n’était pas tout à fait un mensonge : la crise s’éloignait, elle se sentait revivre, la panique envolée, laissant place au soulagement. Elle tapota le bras de l’inconnu, l’air de dire alright, buddy, I’m feeling better, you can let go of me now.
— Je n’aurais peut-être pas dû sauter le petit-déjeuner ce matin, ajouta-t-elle pour détendre l’atmosphère, rassurer son sauveur (ou elle-même).
Elle regarda à droite et à gauche, pour se situer et évaluer la distance parcourue. Elle pensait avoir fait des kilomètres mais elle avait juste migré de Weymouth Town à East Hawk Street. Son regard rencontra la devanture de l’herboristerie des Jessup et elle se dit qu’à défaut d’avoir un remède, les Faes de l’Aurore auraient peut-être quelque chose qui puisse la soulager.
— C’est bon, vous pouvez retourner à vos occupations, dit-elle en se tournant vers l’homme. Merci, ajouta-t-elle, sur un ton qui ne laissait pas transparaitre la moindre gratitude mais plutôt comme si elle avait l’impression qu’il attendait cette politesse pour la laisser.
C’était la moindre des choses, pourtant.
Une autre que Stella l’aurait su.
Une autre que Stella aurait gratifié son sauveur d’un sourire.
Stella se contenta d’un regard pénétrant, teinté de cette méfiance que le moindre geste désintéressé lui inspirait.
Parce qu’elle était persuadée que cela n’existait pas.
Parce qu’elle n’en avait jamais eu à l’égard de qui que ce soit.
Simple as that.

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TW : mention d'amnésie.

Il y a cette scission qui se fait ; entre le professionnel qui doit faire attention à une personne qui se sent mal ; entre l'homme créé par des obsessions d'un autre et qui se retrouve face à la plus importante. Il faut l'aider ; il faut savoir ; mais il ne peut pas, ne doit pas le dire ; juste s'assurer qu'elle ne chute pas plus. Au moins est-elle consciente ; au moins elle répond. C'est étrange de mettre une voix sur une image froissée par le temps, par tout les mouvements de main qui avaient dû se faire de la part de son grand-père pour tenter de chasser la poussière du grain, pour reconnaître ce visage qu'il avait pourtant oublié ; mais jamais le nom, écrit à l'arrière.

Il l'avait appelé tant de fois ; mais cette voix ne le fera jamais en retour.

"Stella" parle ; et il sait qu'il devrait penser à elle autrement, comme à une inconnue, se dire "la dame" ou ce genre de choses... "Vous avez bu de l'eau, récemment ?" Qu'il demande, s'interroge ; à quel point avait-elle sauté le petit déjeuner, après tout ? Mais elle veut faire comme si tout allait bien.

Il l'admire pour ça ; il n'a jamais su tenir ce rôle.
Ou si, trop de fois.

Le regard s'ancre dans l'autre ; qu'elle le regarde ou pas, qu'importe. "Je vous conseillerais de vous poser un petit peu." Rester pro ; ne pas visualiser la photo ; ne pas projeter. "Je suis infirmier, si jamais." Et il vient à chercher un petit peu dans sa besace, cherche après un petit paquet de sucre pour lui tendre. "Tenez." Une seconde, avant de réaliser. "Je peux vous montrer ma carte professionnelle, si vous le souhaitez." Parce qu'il sait que ça peut être très suspect, un homme qui donne quelque chose à une femme, comme ça ; il connait les histoires sombres du genre.

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De la Comète
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Peut-être était-ce le fait qu’il l’ait surprise dans un instant de faiblesse qui la poussait à arborer ce masque sérieux, destiné à tenir à distance. Elle n’avait pas besoin qu’on lui vienne en aide, qu’on la sauve. Elle refusait qu’on la voie comme une petite chose fragile qui avait besoin d’une main secourable et elle dégaina son regard le plus dissuasif, comme si son ton ne suffisait pas. Stella le jaugea rapidement, d’un battement de cils, d’un regard de haut en bas et de bas en haut. Il avait pourtant l’air sincèrement inquiet pour sa santé mais elle décelait quelque chose d’autre, d’indéfinissable — et donc de suspect. S’il tentait la moindre approche, profitant de son aura de chevalier servant, elle allait l’envoyer sur les roses en bonne et due forme, foi de Kahnwald. Elle attendait qu’il montre son véritable visage, qu’il change de tactique, qu’il se trahisse, comme ils se trahissaient tous, un jour ou l’autre, à une exception près, sans doute.
— Vous avez bu de l’eau, récemment ? Je vous conseillerais de vous poser un petit peu.
Les lèvres de Stella se retroussèrent en un sourire sardonique, prête à rouler des billes, comme si la préoccupation de l’inconnu était ridicule, inutile. Le venin lui coula dans la bouche, sucré, collant, enrobant les mots qu’elle s’apprêtait à lâcher. Oh, elle avait toute une panoplie de répliques à lui servir, toutes aussi empoisonnées les unes que les autres, parce qu’elle préférait passer pour une peste que pour quelqu’un qui avait besoin d’aide. Avoir besoin d’aide, c’était dépendre de quelqu’un d’autre et Stella refusait tout simplement d’être prisonnière de ce mal bien trop répandu.
— Je suis infirmier, si jamais.
Cette fois, Stella ne retint pas son reniflement de dédain, comme s’il s’agissait d’une parade usée, entendue un millier de fois, et quand il fouilla son sac pour lui offrir un sachet de sucre, elle lui lança un regard blasé — really, dude ? — et n’esquissa pas le moindre geste pour l’accepter.
— Je peux vous montrer ma carte professionnelle, si vous le souhaitez.
La Fae de la Comète fixa un instant l’inconnu, avec le but affiché de le mettre mal à l’aise, puis elle lâcha, laconique :
— Ça ira.
Sans préciser si elle refusait le sachet ou de jeter un oeil à sa carte.
— Qui me dit qu’elle est vraie, votre carte ? ajouta-t-elle, provocante, encore un peu étourdie mais suffisamment remise pour tenir tête au pauvre homme. Vous manquez un peu d’audace. Vous pourriez au moins prétendre être médecin, ça aurait plus de cachet.
Volontairement condescendante, et sans doute blessante, Stella le toisa, un sourire toujours plaqué aux lèvres, comme si elle espérait l’agacer, le voir perdre son regard innocent, sa mine bienveillante, lui faire ravaler sa sollicitude, mais alors qu’elle dardait sur lui son regard glacé, elle sentit une nouvelle compression sur son coeur affaibli. Sa bouche frémit, son sourire sembla se gondoler et elle se demanda si ce n’était pas le karma qui cherchait à la punir de se montrer aussi ingrate — n’était-ce pas l’histoire de sa vie ?
— Mais putain, qu’est-ce qu’il m’arrive ? maugréa-t-elle en se penchant légèrement en avant, une main pressée contre sa poitrine, l’autre agrippée à l’avant-bras du malheureux qui avait eu la mauvaise idée de croiser sa route. J’ai l’impression que mon coeur a cent ans.
Doux euphémisme, au vu des voyages qu’elle avait effectués à treize ans d’intervalles.
Elle inspira lentement, espérant ainsi calmer son muscle cardiaque, repoussant l’idée terrifiante qu’il pouvait s’agir de ses derniers instants sur Terre et qu’elle n’avait strictement rien accompli, si ce n’est semer le chaos dans son sillage. Bran en serait-il le moins du monde ému ? Cette pensée lui arracha un rire rauque, un peu douloureux, tant elle se trouvait pathétique, à songer à l’étranger qu’il était devenu. Et n’y avait-il donc aucun de ses autres fichus compagnons de Cluster pour venir la soutenir ? À la place, elle se raccrocha à l’humain et releva la tête pour le regarder :
— Je ne veux pas aller à l’hôpital. Je veux juste rentrer chez moi.
Aucune explication ne lui serait donnée, pas plus qu’elle ne s’abaisserait à lui demander de la raccompagner chez elle, mais à la façon dont elle plongea les yeux dans les siens, elle lui fit comprendre que c’était bien tout ce qu’elle attendait de lui, l’infirmier attentif ou le menteur invétéré.
Un peu d’aide.
Elle devait être tombée bien bas.

(j'ai pas pu résister, @Ellis Evans  :love2u: )

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